La préoccupation des jeunes pour la santé a pris progressivement de l’importance suite à la crise sanitaire de la Covid. Cette période de confinements successifs, de fermetures des écoles et des services a profondément affecté la jeune génération qui a manqué de contacts sociaux, humains, d’apprentissage, de suivi et d’encadrement. Cela a amené les jeunes à s’ouvrir plus facilement sur cette thématique très personnelle. La santé mentale des jeunes doit sortir des tabous et stéréotypes, et être prise au sérieux : pressions scolaires, gestion du stress, découverte de soi, pressions liées au regard et attentes des autres, au cœur d’une société anxiogène. La jeunesse est une période charnière, propice à la découverte de soi. Les jeunes doivent pouvoir y évoluer avec des repères et être outillés pour avancer le plus sereinement possible.

Une approche socioculturelle de l’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle est essentielle pour aider les jeunes à construire leur identité propre, assurer leur bien-être et prendre des décisions éclairées. 

Une place de taille doit également être accordée à la prévention afin d’arriver à détecter plus facilement et plus tôt les difficultés et les souffrances des jeunes, et leur éviter d’atteindre un isolement trop profond.

Les jeunes d’aujourd’hui sont très sensibles aux enjeux environnementaux. Cet axe a d’ailleurs déjà été repris dans la précédente charte de la jeunesse.

À l’heure où le tri des déchets se généralise, les jeunes se questionnent sur l’absence de tri dans l’espace public extérieur.

La végétalisation de l’espace public reste aussi une priorité pour eux. Elle permet d’offrir des espaces de bien-être aux habitants, mais également de soutenir la biodiversité. Ceci répond donc à deux des composantes relevées lors de la consultation jeunesse : l’environnement et l’aménagement de l’espace public.

Il serait pertinent d’inclure les jeunes et de les rendre acteurs de projets concrets tels que l’aménagement de la plaine des manœuvres pour qu’il devienne un lieu de biodiversité que les jeunes puissent s’approprier.

D’autres évènements ponctuels seraient susceptibles de répondre à cette thématique, notamment des fêtes de l’environnement ou encore des journées sans voiture.

Les jeunes d’aujourd’hui sont très sensibles aux enjeux environnementaux. Cet axe a d’ailleurs déjà été repris dans la précédente charte de la jeunesse.

À l’heure où le tri des déchets se généralise, les jeunes se questionnent sur l’absence de tri dans l’espace public extérieur.

La végétalisation de l’espace public reste aussi une priorité pour eux. Elle permet d’offrir des espaces de bien-être aux habitants, mais également de soutenir la biodiversité. Ceci répond donc à deux des composantes relevées lors de la consultation jeunesse : l’environnement et l’aménagement de l’espace public.

Il serait pertinent d’inclure les jeunes et de les rendre acteurs de projets concrets tels que l’aménagement de la plaine des manœuvres pour qu’il devienne un lieu de biodiversité que les jeunes puissent s’approprier.

D’autres évènements ponctuels seraient susceptibles de répondre à cette thématique, notamment des fêtes de l’environnement ou encore des journées sans voiture.

Les jeunes décrivent l’espace public comme un véritable lieu de vie. Ils s’y rencontrent, s’y retrouvent, y font des activités. Un sentiment d’insécurité est reconnu dans des lieux et à des moments spécifiques : aux alentours de la gare et sur les quais la nuit.

L’aménagement volontariste de l’espace public pour développer sa fonction de lieu de vie est clairement identifié pour développer un meilleur vivre ensemble et un sentiment de sécurité. Cela se concrétise par des lieux de retrouvaille, de partage, d’échange. Des infrastructures sportives et plaines de jeux de qualité sont souvent citées comme référence et jouent ce double rôle de lieu de rencontre et d’activité, tous deux essentiels au développement des jeunes.

L’installation de bancs et la végétalisation des espaces participent également à plus de convivialité et de bien-être dans l’espace public.

Faire de l’espace public un lieu de vie va au-delà de son aménagement, c’est aussi la manière dont on l’habite. De la sorte, la culture et l’art sous toutes ses formes sont des moyens privilégiés pour animer et dynamiser l’espace public, dans un esprit de rencontre et de partage. Aussi, l’espace public est lui un lieu de prédilection pour l’expression d’une culture jeune et populaire, qui a peu sa place dans les endroits culturels habituels.